L’île qui sur le papier m’emballait le plus, la Nā Pali Coast sauvage et escarpée, la petite taille de l’île, le côté sauvage et paradisiaque. Bref beaucoup d’attente.
Avec deux vols sans histoire New York – LA et LA – Kauai (enfin si : un passager qui se met en PLS au sol 30 minutes avant d’arriver, l’hôtesse qui coure vers lui en criant « code rouge, code rouge », ok… j’ai eu un peu peur qu’on soit détourné à Hononolu, mais bon ça c’est bien fini, juste un petit coup de mou il a été évacué tranquillement par l’équipe médicale à l’arrivée). On pose enfin le pied sur une ile de l’archipel. Prise de la location de voiture, que du bonheur, on a fait nos trois locations chez Alamo et à chaque fois : check in hyper rapide sur des bornes automatisés, tu choisis sur le parking la voiture que tu veux dans ta catégorie et tu roules. Hyper rapide et pratique, je suis complétement fan.
Côté météo, dès le premier jour on comprend pourquoi les paysages sont verdoyants, il flotte pas mal. Ca sera une constante dans les trois iles, on va alterner les journées de super beau temps, et les journées couvertes voir pluvieuses. Et ça joue beaucoup sur le ressenti de la journée, quand il fait grand soleil t’es à fond dans le délire aloha/mahalo, les îles c’est top, quand il flotte un peu t’as plus l’impression d’être dans une ville américaine côtière lambda.
Bon avec la petite de 9 ans pas du tout motivée par la marche, on a pas pu faire énormément de trails (qui sont d’ailleurs malheureusement un peu à l’abandon, pas de rangers, pas mal de pistes fermées), mais on a fait plusieurs points de vue bien sympas sur la Nā Pali (qui a part une seule rando le long du littoral que je ferai pas en famille, est inaccessible d’accès terrestre), parfois un peu embrumée.
Pas loin se trouve également le Waimea Canyon, hyper impressionnant.