C’était très chouette, mais si la haute végétation qui n’était pas attendu a surement compliqué et amoindri l’observation de certains animaux, mais bon c’est la nature faut faire avec. Malgré de longues heures de route entre les différents parcs (respect à notre chauffeur), on a pu voir énormément de choses.
La seule « difficulté » vient d’avoir fait la Namibie avant ce voyage au Kenya. Difficile de ne pas comparer. Si le nombre d’animaux observable est favorable au Kenya, les paysages plus verdoyants que le désert rocheux d’Etosha, pouvoir se promener en totale autonomie et profiter de la tranquilité des points d’eau nous a manqué.
Hors des parcs, le Kenya est également beaucoup beaucoup moins « magique » que les paysages namibiens, l’expérience n’est pas la même et au delà des animaux laissent peu de souvenirs mémorables.
Il faut donc faire un choix entre l’opération photos kenyane, parfois au mileu des autres jeeps, et la magie de la Namibie. Pas mal d’avoir pu faire les deux au final. Pour le prochain safari du coup ça sera soit le Kruger en Afrique du Sud soit un retour à Etosha, pour retrouver cette autonomie si agréable.
Autre point à prendre en compte si vous êtes photographes en herbe, à l’équateur le soleil se lève et se couche à toute vitesse. La golden hour est plutôt une golden 10 minutes, et vous vous retrouverez souvent à shooter face à un soleil de plomb (encore plus frustant quand on ne choisit pas son positionnement).
Mais les parties de chasse que l’on a pu observer, les troupeaux d’éléphants, nos amies les girafes, tout ça parfois à quelques mètres de nous, valaient vraiment le déplacement.
: Les animaux, partout, autour et proches de nous.
: La qualité des logements
: La savane
: La nécessité d’avoir recours à un chauffeur/guide que se soit pour le trajet ou avoir une chance d’observer les félins.
: L’expérience hors parcs